dimanche 6 mai 2012

Install Mac OS X Lion on Ubuntu 12.04 Precise Pangolin/Linux Mint 13



Previous shared Mac OS X Lion for Ubuntu 11.10, People liked this theme also we should thank to Author.
Many People Search for Macbuntu 12.04/Macbuntu 11.10/Mac4lin, Mac Ubuntu theme and so on. So here we are ready with Mac OS X Lion Theme for Ubuntu 12.04 Precise Pangolin and Hopefully Mac Theme will work with Linux Mint 13.
macbuntu 12.04

mac ubuntu

mac4lin

ubuntu mac

mac os x ubuntu


How Gnome Shell Looks? (Not applied on Gnome Shell - Only GTK Applied)

mac gnome shell

gnome shell mac theme






Now Theme Installation:

1: Download Mac OS X Lion Wallpapers
2: Install Latest Cairo Dock

3: To Install Mac OS X Lion Theme on Ubuntu 12.04 Precise Pangolin open Terminal (Press Ctrl+Alt+T) and copy the following commands in the Terminal:
  • sudo add-apt-repository ppa:noobslab/themes
  • sudo apt-get update
  • Install Cursors
  • sudo apt-get install mac-os-lion-cursors
  • Install Icons
  • sudo apt-get install mac-os-lion-icons
  • Install Theme
  • sudo apt-get install mac-os-lion-theme

4: Apply Mac OS X Splash:
macbuntu 12.04
Install Following commands to install splash:
  • wget http://dl.dropbox.com/u/53319850/Paw-OSX.zip
  • unzip Paw-OSX.zip
  • sudo cp -R Paw-OSX/ /lib/plymouth/themes
  • sudo update-alternatives --install /lib/plymouth/themes/default.plymouth default.plymouth /lib/plymouth/themes/Paw-OSX/paw-osx.plymouth 100
Enter following command and select paw-osx splash:
  • sudo update-alternatives --config default.plymouth
Now Enter this command:
  • sudo update-initramfs -u

5: Install Compiz Setting Manager to Autohide Unity Launcher: 
  • sudo apt-get install compizconfig-settings-manager
unity autohide


6: Install Gnome Tweak Tool to change Themes, Icons, Cursors: 
  • sudo apt-get install gnome-tweak-tool
mac os x

jeudi 3 mai 2012

Wikileaks : Un monde sous surveillance





Les écoutes de masse de populations entières ne sont pas seulement une réalité, c’est une nouvelle industrie secrète existant dans plus de 25 pays.





Un mauvais film

On dirait un mauvais film, mais les systèmes d’interception de masse, fabriqués par des entreprises occidentales et utilisés également contre les «opposants politiques», sont aujourd’hui une réalité. Le 1er décembre dernier, Wikileaks a entamé la publication d’une base de données de centaines de documents venant de près de 160 entreprises de renseignement de l’industrie de la surveillance de masse. En collaboration avec Bugged Planet et Privacy International, ainsi que les medias de six pays – L’ARD en Allemagne, Le Bureau of Investigative Journalism au Royaume Uni, The Hindu en Inde, L’espresso en Italy, OWNI en France et le Washington Post aux États-Unis – Wikileaks met en lumière cette industrie secrète dont la croissance a explosé depuis le 11 Septembre 2001 et qui représente des milliards de dollars chaque année. WikiLeaks a publié 287 documents, mais le projet «Un monde sous surveillance» est lancé, et de nouvelles informations seront publiées dans l’année qui vient.

Le plus grand secret

Les entreprises de surveillance internationales sont situées dans les pays disposant des technologies les plus sophistiquées, et ils vendent leur technologie dans tous les pays du monde. Cette industrie est, en pratique, non régulée. Les agences de renseignement, les forces militaires et les autorités policières sont donc capables d’intercepter sans être détectées, massivement et dans le plus grand secret, les appels téléphoniques, et de prendre le contrôle d’ordinateurs sans même que le fournisseur d’accès ne s’en rende compte ou n’apporte son aide. La position des utilisateurs peut être suivie à la trace s’ils ont sur eux un téléphone mobile, même si celui-ci est en veille.

L’industrie des équipements de surveillance

Mais les dossiers du «monde sous surveillance» de WikiLeaks vont plus loin que de simples «bons pays occidentaux» exportant leur technologie à «de mauvais pays en développement». Les sociétés occidentales vendent aussi un vaste catalogue d’équipements de surveillance aux agences de renseignement occidentales. Dans les histoires classiques d’espionnage, les agences de renseignement comme la DGSE ou le MI5 mettent sur écoute les téléphones d’une ou deux personnes d’intérêt. Lors des dix dernières années, c’est la surveillance de masse sans discrimination qui est devenue la norme. Des sociétés de renseignement comme VASTech ont secrètement vendu des équipements enregistrant de manière permanente les appels téléphoniques de nations entières. D’autres enregistrent la position de tous les téléphones portables d’une ville, avec une précision à 50 mètres. Des systèmes capables d’infecter l’intégralité des personnes d’une population cible utilisant Facebook ou possédant un smartphone sont en vente dans ce marché du renseignement.

La vente d’outils de surveillance aux dictateurs

Lors du printemps arabe, quand les citoyens ont renversé les dictatures en Tunisie et en Egypte , ils ont découvert les chambres d’écoute où des équipements britanniques de Gamma, français d’Amesys, sud-africains de VAStech, chinois de ZTE suivaient leurs moindres mouvements en ligne et par téléphone.
Des entreprises de renseignement telles que SS8 aux États-Unis, Hacking Team en Italie et Vupen en France fabriquent des virus (chevaux de Troie) qui piratent les ordinateurs et les téléphones (y compris les iPhone, BlackBerry et Android), en prennent le contrôle, enregistrent tous les usages, mouvements et même les images et sons provenant de la pièce où ils se trouvent. D’autres sociétés, comme Phoenexia en République Tchèque, collaborent avec les militaires pour créer des outils d’analyse de la voix. Ils identifient les individus en déterminant leurs genre, âge et niveau de stress et les suivent ainsi grâce à leurs «empreintes vocales». Blue Coat, aux USA, et Ipoque, en Allemagne, vendent des outils aux gouvernements de pays comme la Chine et l’Iran pour empêcher que les dissidents ne se fédèrent par Internet.
Trovicor, une filiale de Nokia Siemens Networks, a fourni au gouvernement de Bahrein des technologies d’écoute qui ont permis de pister le défenseur des droits de l’homme Abdul Ghani Al Khanjar. Des détails de conversations sur son téléphone mobile personnel datant d’avant qu’il soit interrogé et battu durant l’hiver 2010-2011 lui ont été montrés.

Les entreprises de surveillance partagent vos données avec l’État

En janvier 2011, la N.S.A. a inauguré un site dans le désert de l’Utah destiné à stocker à jamais des téraoctets de données tant américaines qu’étrangères, afin de les analyser dans les années à venir. Le tout pour 1,5 milliard de dollars.
Les entreprises de télécommunications sont disposées à révéler les données sur leurs clients aux autorités, quel que soit le pays. Les gros titres lors des émeutes au Royaume-Uni en août ont montré comment Research In Motion (RIM), qui commercialise les BlackBerry, a proposé au gouvernement d’identifier ses clients. RIM a participé à des négociations similaires avec les gouvernements indien, libanais, ceux d’Arabie saoudite et des Émirats arabes unis, leur proposant de partager les données issues de BlackBerry Messenger.

Transformer les données en armes tue des innocents

Il existe plusieurs entreprises qui commercialisent actuellement des logiciels d’analyse de données, transformant celles-ci en de puissants outils utilisables par les militaires et les agences de renseignement. Par exemple, dans des bases militaires aux États-Unis, des pilotes de l’Armée de l’air utilisent un flux vidéo et un joystick pour piloter des drones Predator lors de missions de surveillance au Moyen-Orient ou en Asie centrale. Ces données sont accessibles à des membres de la CIA (Central Intelligence Agency) qui s’en servent pour lancer des missiles Hellfire sur leurs cibles.
Les représentants de la CIA ont acheté des logiciels leur permettant de corréler instantanément des signaux téléphoniques et des empreintes vocales, pour déterminer l’identité et la position d’individus. L’entreprise Intelligence Integration Systems Inc. (IISI), basée dans l’État du Massachusetts, commercialise dans ce but un logiciel «d’analyse basée sur la position» appelé Geospatial Toolkit. Une autre société, Netezza, elle aussi du Massachusetts, et qui a acheté ce logiciel, en a prétendument analysé le fonctionnement et en a vendu une version modifiée à la CIA, version destinée à équiper des drones pilotés à distance.
IISI, qui indique que son logiciel a une marge d’erreur de plus de 12 mètres, a porté plainte contre Netezza pour en empêcher l’utilisation. Le créateur de la société IISI, Rich Zimmerman, a déclaré devant un tribunal qu’il a été «stupéfait et abasourdi que la CIA envisage de tuer des gens avec mon logiciel qui ne fonctionne pas».

Un monde orwellien

Partout dans le monde, les fournisseurs d’outils de surveillance massive aident les agences de renseignement à espionner des particuliers et des «groupes d’intérêt» à grande échelle.

Parcourir les documents du projet «un monde sous surveillance»?

Le projet «Un monde sous surveillance» de Wikileaks révèle dans le détail quelles sociétés font des milliards en vendant des systèmes de surveillance sophistiqués aux gouvernement acheteurs, passant outre les règles d’export et ignorant superbement que les régimes auxquels ils s’adressent sont des dictatures ne respectant pas les droits de l’homme.
Pour chercher dans ces documents, cliquez sur le lien dans le panneau à gauche de cette page pour obtenir la liste par type, compagnie, date ou par mot-clé. (Allez sur le site de la source de ce document)
Pour visualiser ces sociétés sur une carte du monde, utilisez l’outil suivant chez Owni.
Par wikileaks.org

[Source]

[Documents a lire sur Wikileaks]

Journée internationale contre les DRM – édition 2012


Dans son combat contre les DRM (Digital Rights Management), club Poly/Linux , soutient la Journée internationale contre les DRM de la Free Software Foundation (Fondation du logiciel libre) le 4 mai 2012.
Cette journée est l’occasion de rappeler à quel point ces menottes numériques sont dangereuses pour les utilisateurs comme pour les développeurs de logiciels libres et empêchent des usages légitimes sur les contenus numériques.

Le 4 mai 2012, la Free Software Foundation organise la Journée internationale contre les DRM, une journée d’information sur les dangers des DRM, des systèmes de gestion de contrôle d’usage des fichiers numériques. Ces DRM sont présents sur de nombreux fichiers, comme une partie de la musique en ligne et certains livres numériques, mais aussi sur les supports physiques, comme les DVD et les BlueRays pour la vidéo. Ils encodent le contenu de manière à le rendre illisible pour qui n’a pas la clé numérique pour le décoder. Les DRM ont pour principal objectif d’établir un contrôle de l’usage dans le cercle privé, jusqu’ici impossible à mettre en œuvre.
«Si les gens savaient qu’il y a un DRM, ce que c’est et comment ça fonctionne, nous aurions déjà échoué.»
(“If consumers even know there’s a DRM, what it is, and how it works, we’ve already failed”)
Disney, dans The Economist, septembre 2005

Pour en savoir plus sur les DRM

mercredi 2 mai 2012

02 Mai 2012 | Palais des Sciences de Monastir : Conférence - Richard Stallman







mardi 1 mai 2012

le GOUROU du logiciel libre: « Richard Stallman »


La communauté Tunisienne des logiciels libres et le Palais des Sciences de Monastir Invitent le GOUROU du logiciel libre: « Richard Stallman »
Mercredi, le 02 Mai 2012 au Palais des Sciences de Monastirà partir de 15h00

Dr.RichardStallman, président de la Free Software Foundation fsf.org et initiateur du mouvement des logiciels libres gnu.org, sera en visite en Tunisie dans les prochains jours. Cette visite vient suite à une invitation soumise par les membres de la Communauté Tunisienne des Logiciels Libres pour assurer des conférences autour des logiciels libres.
le palais des sciences de monastir accueil Dr.RichardStallman pour animer une conférence sur « Les logiciels libres et vos libertés » et ce, le 02 mai 2012 à partir 15h00 (environ 2h pour la conférence 1h pour le débat) .

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